C'est sur le tard, après une vie passée au-delà des mers sur les quatre continents, que Jacques le Blanc, ancien Ambassadeur, s'est consacré à son violon d'Ingres, la peinture.

 

Au terme d'une carrière qui lui a valu de séjourner plus particulièrement en Afrique, en Asie et dans le Pacifique, où il retourne encore maintenant de loin en loin à titre privé, il a accumulé images et sensations alliant exotisme à réalisme. Délibérément figuratif (même s'il s'essaie périodiquement à l'abstrait) depuis un goût pour le dessin cultivé dès son enfance, ses centres d'intérêt sont multiples, allant des gens et sites côtoyés jusqu'à la faune ou la végétation locales en passant par les diverses manifestations artistiques dont il a pu être le témoin. Comme bon nombre de peintres, son inspiration est en outre naturellement marquée par un incontestable intérêt pour l'univers féminin. Si l'huile est son medium de prédilection, sa touche demeure légère au point d'approcher parfois celle de l'aquarelle.

 

Jacques le Blanc a exposé en Nouvelle-Zélande, lors de sa dernière résidence à l'étranger, et participe depuis quinze ans à des expositions locales en Province, à la périphérie du Perche où il a son atelier. Peignant jusqu'ici surtout pour son propre plaisir, il s'est décidé à se faire connaitre devant l'intérêt suscité par ses toiles en diverses occasions !